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nicolas78

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hey oui le cpe ...
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hey oui le cpe ... Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant 
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Svolatche
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Posté le: Sam Avr 01, 2006 10:00
Sujet du message: hey oui le cpe ...
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hey oui je pense que vous le savez mais ce petit contrat fait un peu chi*er tous le monde.... certes après l'annonce de Mister le President, il y aura des changements...mais il y a encore beaucoup à changer...mais c'est déjà un pitit mieux. Voilà un article prit sur ( bon desolé je sais pas si je peux marquer le site..mais bon je prefere marquer la source...parce que c'est pas du tout moi qui a écrit alors voilà....pis comme ça si vous voulez regarder d'autres trucs...des informations complémentaires....il y a tout :) )


http://permanent.nouvelobs.com/special/20060126.UNE0039.html

Ah pis je voulais préciser..j'ai essayé de mettre en gras les passages dits 'important' mais bon je débute hein :oP
alors préparez votre petit :pint: et Hop c'est parti mon kiki :)

Dominique de Villepin a réuni ce matin les responsables UMP qui souhaitent un dialogue avec les syndicats. Une proposition de loi parlementaire sera déposée "le plus vite possible", affirme Bernard Accoyer.


La nouvelle loi annoncée vendredi soir par le président Jacques Chirac pour aménager le contrat de première embauche (CPE) passera par une proposition de loi rédigée par les présidents des groupes UMP de l'Assemblée et du Sénat, a annoncé samedi 1er avril le chef de file des députés UMP Bernard Accoyer.
"Il a été décidé qu'à la suite des déclarations du président de la République nous nous dirigions vers une proposition de loi parlementaire qu'avec Josselin de Rohan, président du groupe (UMP) au Sénat nous préparerons", a-t-il expliqué au terme d'une réunion des chefs de la majorité autour du Premier ministre Dominique de Villepin. De son côté, la gauche était rassemblée au siège parisien du Parti communiste français.
La proposition parlementaire sera déposée "le plus vite possible", après un "dialogue" avec les organisations syndicales et de jeunes "qui souhaiteront y participer", a précisé M. Accoyer.
"Dès le début de la semaine, nous souhaitons et nous ferons tout pour ouvrir un dialogue, un échange avec toutes les organisations syndicales, socioprofessionnelles et de jeunes" prêtes à discuter, a-t-il expliqué.

"Ce n'est qu'après ces échanges, après ce travail, que nous déposerons cette proposition de loi."

Pas de calendrier

"Nous ne nous sommes pas fixés de calendrier. Nous irons le plus vite possible, mais la priorité c'est d'abord de renouer cet échange, ce dialogue, pour aboutir dans le consensus", a-t-il conclu, précisant que la réunion à Matignon, qui a duré près d'une heure, s'était déroulée dans une "atmosphère de travail constructive, avec la volonté d'aboutir d'abord à l'apaisement, au retour au calme, au respect de la liberté d'étudier et ensuite à une solution pour que cet outil, le CPE, soit accepté par tout le monde".
Participaient à cette réunion autour de M. de Villepin les présidents de l'Assemblée Jean-Louis Debré et du Sénat Christian Poncelet, les deux présidents du groupe UMP de l'Assemblée Bernard Accoyer et du Sénat Josselin du Rohan. Le ministre de l'Intérieur et président de l'UMP Nicolas Sarkozy ainsi que le ministre délégué aux Relations avec le Parlement Henri Cuq étaient aussi présents.
Vendredi soir, Jacques Chirac a demandé que soit préparée "immédiatement" une nouvelle loi pour apporter "deux modifications" au contrat première embauche, bien qu'il ait décidé de promulguer la loi sur l'égalité des chances, qui comprend le CPE. "La période de deux ans sera réduite à un an"et, "en cas de rupture du contrat, le droit du jeune salarié à en connaître les raisons sera inscrit dans la nouvelle loi", a annoncé le chef de l'Etat. (AP)


là c'est un article qui montre la réaction des 'jeunes' :)

Après la décision de Jacques Chirac de promulguer la loi sur le CPE, des rassemblements spontanés ont eu lieu à Paris, mais aussi à Lyon, Lille, Toulouse...

Plusieurs rassemblements à l'appel des organisations lycéennes UNL et FIDL ont eu lieu vendredi 31 mars au soir en France dans plusieurs villes du pays afin de réagir à l'intervention télévisée du président Jacques Chirac sur le contrat première embauche.
Environ un demi-millier de jeunes partis de la Bastille ont joué au chat et à la souris avec les forces de l'ordre dans Paris en soirée. La rue du Faubourg Saint-Honoré dans le secteur du Palais de l'Elysée et du ministère de l'Intérieur avait été bloquée par des cars de police, interrompant la circulation. Par ailleurs, les quatre stations de métro des Champs-Elysées avaient été fermées. En milieu de soirée, l'avenue était en partie bouclée par des cars de police et des gardes mobiles.
Les manifestants ont été dispersés avec des gaz lacrymogènes devant l'Assemblée nationale, tandis que des étudiants se rassemblaient devant le musée du Louvre ou l'Opéra Garnier.


A Lyon, 350 étudiants, lycéens et militants de gauche, se sont rassemblés dans ambiance festive place Bellecour, pour écouter à la radio l'allocution de M. Chirac.

A l'annonce de la promulgation de la loi sur l'égalité des chances, les jeunes, assis en cercle main dans la main, se sont levés et ont immédiatement scandé les slogans maintes fois répétés dans les manifestations, en particulier "Chirac, Villepin, votre période d'essai est terminée!"
"C'est une déception majeure. Chirac est sourd, aveugle. Le mouvement va aller crescendo. Aujourd'hui, c'est toute une démocratie qui est à défendre", a déclaré Romain Espinosa, porte-parole de l'UNL-Rhône.
A Toulouse, plusieurs centaines d'étudiants se sont réunis place du Capitole pour écouter l'intervention présidentielle, couramment qualifiée de "démagogique" et "pour noyer le poisson". Entre une centaine de personnes, selon la police, et 250, selon les étudiants eux-mêmes, dont beaucoup de l'université du Mirail, étaient présents et se sont dispersés sans incident vers 20h30.

Ils étaient environ un millier à Bordeaux dans la soirée devant l'Hôtel de Ville, selon un des porte-parole du mouvement, Jules Boyadjian. Ils avaient auparavant regardé l'intervention du président de la République sur écran géant place de la Victoire.
"Ce n'est pas en ignorant la jeunesse qu'on sort d'une telle crise", a déclaré à Marseille Tristan Rouquier, le président de la Fédération indépendante et démocratique lycéenne (FIDL) où une dizaine de jeunes se sont réunis sur le Vieux Port pour protester contre le CPE. Après l'allocution télévisée de M. Chirac, Tristan Rouquier a ajouté: "On a perdu dix minutes et lui aussi".
La situation était calme à Rennes après le discours du chef de l'Etat où 150 personnes environ s'étaient rassemblées pour l'écouter. Enfin, à Poitiers, selon Jules Aimé, porte-parole du collectif étudiant, environ 500 étudiants se sont retrouvés spontanément dans le centre-ville où ils ont manifesté. Puis, environ 150 d'entre eux ont pénétré dans le rectorat. Ils occupaient le bâtiment dans la soirée. (AP)

et pour finir le point de vue des syndicats :)

L'opposition et les syndicats insatisfaits


Les syndicats jugent insuffisantes les modifications annoncées par Jacques Chirac. "On ne va pas vers l'apaisement", estime François Hollande

Les organisations syndicales et l'opposition ont reproché au chef de l'Etat de n'avoir pas demandé au Parlement une nouvelle délibération du texte et, sur le fond, ont jugé insuffisantes les modifications de la loi annoncées.
FO a jugée la décision "incompréhensible et pas acceptable", la CGT parle "d'amplifier la mobilisation", estimant que le président "prend la responsabilité de prolonger la crise".
Le dirigeant du Parti socialiste François Hollande a jugé qu'"on ne va pas vers l'apaisement". Quant à François Bayrou, président de l'UDF, il a ironisé, relevant que "c'est la première fois dans l'histoire, à ma connaissance, qu'on promulgue une loi en demandant qu'elle ne soit pas appliquée".

Voilà bizoux à vous :) j'espère que ça vous a plus :))
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Titine
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Posté le: Sam Avr 01, 2006 10:36
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Citation:
L'annonce télévisée de la promulgation du texte instaurant le CPE par le chef de l'Etat a entraîné une vague de manifestations sauvages, vendredi soir, dans les rues de la capitale et de nombreuses villes des province. Plusieurs milliers d'étudiants et lycéens, principalement, ont appelé Jacques Chirac à la démission. Des dégradations ont eu lieu en marge des défilés.


Quand M. Chirac a annoncé qu'il avait "décidé de promulguer" la loi sur l'égalité des chances, la foule s'est mise à siffler, certains manifestants criant "Chirac en prison, Villepin démission".
Un défilé constitué en majorité par de jeunes étudiants ou lycéens, certains portant des drapeaux de la LCR ou de la CNT (anarchiste), ont alors défilé entre Bastille, Opéra, Concorde et l'Assemblée nationale avant de revenir vers la Sorbonne dans le quartier latin.
Entre-temps, les manifestants avaient été repoussés par les CRS aux abords de l'Elysée.

Malgré les appels au calme fusant du cortège, des individus, parfois masqués, ont dégradé des vitrines, des poubelles, des voitures et des scooters sur les boulevards Raspail et St Germain, puis Sébastopol et Magenta ainsi que sur la butte Montmartre.
La permanence du député UMP Pierre Lellouche a été vandalisée.
Cent personnes ont été interpellées.

La colère s'est également exprimée à Bordeaux où plus d'un millier d'étudiants et de lycéens principalement ont manifesté vendredi soir aux cris de "Chirac démission".
Derrière une banderole "Jeune, prends ton avenir en main, deviens vieux", les manifestants, rejoints par des membres de syndicats de salariés et des familles parfois avec leurs enfants, ont crié "Grève générale jusqu'à satisfaction" et "Chirac, Villepin, Sarkozy, votre période d'essai est finie".
Des manifestations sauvages ont également eu lieu au Mans (500 pers.), à Lyon (350 pers.), Strasbourg (300 pers.), à Nantes (400), Rennes (150 pers.), à Lille (100 pers.) et Poitiers (100-150).
Quelques incidents ont été signalés.



Toujours est il que les blocus continuent devant la plupart des Lycées et Universités. (dans ma ville en tout cas)
Mon fils perdra surement une année d'étude en faisant parti des manifestants , mais il milite pour son avenir.
(Ils sont quand même sympas , ils laissent passer les prepa, les BTS .... tout ceux qui ont des exams en cours en ce moment.) :hammer:
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Posté le: Sam Avr 01, 2006 10:41
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Alors deja que cette histoire de CPE me prend la tete tout les jours depuis 3 semaines maintenant , voila que ca deborde sur le forum.
J etais content , j me disait " tiens c est cool enfin un endroit ou on ne fait pas de politique , pas de religion"

Ben nan
:(
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Titine
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Posté le: Sam Avr 01, 2006 10:45
Sujet du message:
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EDIT : Post restauré
Avec toutes mes excuses.

Essayez quand même de ne pas le faire devier en débat politique s'il vous plait ; merci ;-)
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Svolatche
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Posté le: Dim Avr 02, 2006 18:31
Sujet du message:
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bon heu je vous laisser juste te remercier titine d'avoir remis le post :)
et pis heu je voulais pas parler de politique...c'est pas du tout mon truc.... je voulais juste enoncer des faits...qui à une époque donnée sont plutôt important...comment échapper à ce contrat et à la grippe aviaire...voilà desolé du derangement :) c'était juste pour changer un peu :D MDR voilà enfin vala mais je comprendrais très bien si vous voulez l'enlever :) bizoux je vous aime :)
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Styx
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Posté le: Dim Avr 02, 2006 19:30
Sujet du message:
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Bah oui je m'etonnais aussi de pas voir de post a ce sujet sur ZenZone mais apres reflexion (pas de moquage svp :x) je me suis dis c'est aps si mal puisque politique et auitre sujet houleux font la plupart du temps derivé le post initial et se transforme en dialogue de gens qui ecoute mais n'entendent rien ...... Pourtant c'est regrettable car quand il s'agit de loi DAVDSI alors la pas de problemes (certes ca concerne plus le champ d'aplication d'un site comme le notre ...)

Enfin je ne donnerai aps d'avis politique ici :p tout ce dont je me rend compte c'est que les dernieres "super lois" qu'on nous a proposées sont faites par des gens ayant une vague idée de ce qu'ils abordent ... Autrement dit qui ne comprennent rien a ce qu'ils font :o)
_________________
"Si le propre du sage est de ne rien faire d'inutile, alors personne ne me surpassera en sagesse : je ne m'abaisse meme pas a faire les choses utiles" - Cioran -
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Svolatche
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Posté le: Mar Avr 04, 2006 09:33
Sujet du message: Reuh
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hey oui me revoilà sur ce sujet qui est malheuresement toujours d'actualité... surtout aujourd'hui.... alors voilà un article tiré de cette page :
http://permanent.nouvelobs.com/special/20060126.UNE0039.html

5e journée de mobilisation pour l'abrogation du CPE



150 manifestations sont prévues dans toute la France. A Paris, le défilé partira à 14h30, place de la République. Perturbations attendues dans les transports.
Abroger le CPE. Tel est le mot d'ordre des syndicats, qui organisent mardi 4 avril une nouvelle journée de grèves et de manifestations dans toute la France. Cette cinquième journée de mobilisation nationale en deux mois intervient alors que la majorité, sous l'égide de Nicolas Sarkozy, s'apprête à vider de sa substance le projet de Dominique de Villepin.
Jacques Chirac est intervenu lundi pour demander que la proposition de loi UMP soit rédigée "en totale cohérence" avec le gouvernement.
Quelque 150 manifestations sont prévues mardi dans toute la France. A Paris, le défilé partira à 14h30 de la place de la République en direction de la place d'Italie. De nombreux préavis de grève ont également été déposés dans le secteur public comme dans le privé, avec des perturbations attendues dans les transports.
Les syndicats espèrent mobiliser autant que mardi dernier. Entre un et trois millions de personnes, selon les sources, étaient alors descendues dans la rue.

Les aménagements refusés

Le contexte politique a cependant radicalement changé depuis la semaine dernière, avec la décision, annoncée vendredi soir par Jacques Chirac, de promulguer la loi tout en suspendant l'application du CPE. Les ministres Jean-Louis Borloo et Gérard Larcher ont écrit lundi à l'ensemble des organisations professionnelles pour demander aux entreprises de ne pas signer de CPE.
Les syndicats et les organisations étudiantes entendent désormais faire pression sur les parlementaires UMP, chargés de rédiger la proposition de loi destinée à aménager le CPE.
Le front anti-CPE, toujours uni, refuse les aménagements proposés par Jacques Chirac: réduction de deux à un an de la période d'essai du CPE et justification du licenciement. "La seule disposition qui vaille, c'est l'abrogation du CPE", a déclaré lundi Bernard Thibault (CGT).

Sarkozy de veut pas de tabou


Les syndicats peuvent compter sur l'aide de Nicolas Sarkozy, qui a dit son souhait d'ouvrir avec eux des discussions "sans tabou". Le président de l'UMP, qui a saisi cette occasion rêvée de supplanter son rival Dominique de Villepin et d'infléchir son image libérale, est à la manoeuvre depuis ce week-end.
Après avoir multiplié les contacts avec les dirigeants syndicaux, il devait réunir lundi soir la commission exécutive de l'UMP.
Chargé de rédiger le texte avec son homologue du Sénat, le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale Bernard Accoyer entend lui aussi discuter "sans préjugés" avec les syndicats. Il doit écrire mardi aux partenaires sociaux pour les inviter à des discussions. Le dialogue pourrait se nouer à partir de mercredi. Un groupe d'une dizaine de parlementaires de toutes sensibilités sera constitué pour suivre les négociations.
Dans ces conditions, la proposition de loi, qui pourrait être examinée en mai par les deux assemblées, pourrait aller au delà du cadre fixé par Jacques Chirac.
Certains dans la majorité n'hésitaient pas à dire lundi que "le CPE est mort", à l'image d'Edouard Balladur. "Un, on ne l'applique pas, et deux, on décide de le modifier très profondément: dans sa forme actuelle il n'existe plus", a déclaré l'ancien Premier ministre sur Europe-1.

"En totale cohérence"

D'où l'intervention du chef de l'Etat.
Après avoir reçu séparément Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin, Jacques Chirac a fait savoir par son entourage que la proposition de loi devait être élaborée "en totale cohérence entre les deux présidents de groupe UMP des assemblées qui la porteront, le Premier ministre, ainsi que les deux ministres en charge". Selon l'Elysée, "Nicolas Sarkozy a bien évidemment confirmé que le parti majoritaire soutenait cette démarche".
Car la reprise en main du dossier par Nicolas Sarkozy a provoqué des tensions avec les chiraco-villepinistes. "La ligne fixée par le président de la République pour sortir de la crise s'impose à tous", a rappelé le président de l'Assemblée nationale Jean-Louis Debré.
De son côté, Dominique de Villepin, désireux de montrer qu'il conservait un semblant d'autorité, a réuni le gouvernement au grand complet pour un séminaire à Matignon en fin de matinée. Se projetant dans l'après-CPE, le Premier ministre a marqué sa volonté de "poursuivre la modernisation" de la France dans les prochains mois. Il devrait développer ce thème jeudi lors de sa conférence de presse mensuelle. (AP)

Et enfin, après promis je vous casse pu les pieds avec ça.. mais c'est un sondage donnée sur le même site...



Réduction de la période d'essai à un an, justification du licenciement : plus d'un Français sur deux estime ces mesures insuffisantes.

Plus d'un Français sur deux (55%) juge que les modifications souhaitées par le président Jacques Chirac sur le contrat première embauche (CPE) sont insuffisantes, selon un sondage BVA diffusé mardi 4 avril sur BFM et Les Echos.
Interrogés sur la réduction de la période d'essai de deux à un an et la justification du licenciement par l'employeur, les sondés sont 55% à considérer que c'est "insuffisant". Trente-six pour cent les jugent "comme il faut" et 6% disent que ces modifications sont "trop importantes". Trois pour cent ne se prononcent pas.

Mouvement justifié

Par ailleurs, 62% des personnes interrogées pensent que le mouvement anti-CPE est "justifié". Elles sont 37% à le juger "injustifié". Un pour cent ne se prononce pas.
La popularité de la politique économique du gouvernement perd cinq points avec cette crise par rapport à février: seuls 25% des Français considèrent qu'elle est bonne, tandis que 72% la jugent "mauvaise" (+7). Trois pour cent des sondés ne se prononcent pas.
Enfin, 50% des personnes interrogées pensent que le gouvernement continuera de proposer des réformes profondes avant la présidentielle de 2007.

Quarante-quatre pour cent ont un avis contraire. (AP)

Sondage réalisé par téléphone le 1er avril auprès d'un échantillon de 1.004 personnes représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus, selon la méthode des quotas.

Voilà et merci encore pour avoir laisser ce pti post :)
Mais bon je prefere le repete : si vous voulez le supprimé .... je n'ais rien à dire :) c'est vous les boss :)
bizoux à vous
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Titine
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Posté le: Mar Avr 04, 2006 09:55
Sujet du message:
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Citation:
Voilà et merci encore pour avoir laisser ce pti post
Mais bon je prefere le repete : si vous voulez le supprimé .... je n'ais rien à dire c'est vous les boss
bizoux à vous


Il n'y a pas de raison , tant qu'il ne part pas en vrille :)
bisouus
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Svolatche
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Posté le: Mar Avr 04, 2006 18:46
Sujet du message:
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résultat de cette 5ieme grève : tiré sur le même site :

http://permanent.nouvelobs.com/special/20060126.UNE0039.html



La CGT annonce 3 millions de manifestants en France, dont 700.000 à Paris. L'Intérieur annonce 1.028.000 manifestants en France, dont 84.000 à Paris. Des chiffres quasi similaires à ceux du 28 mars.


Peu avant 17h00 mardi 4 avril, la CGT a annoncé que la nouvelle journée de mobilisation contre le CPE avait rassemblé plus de trois millions de manifestants dans toute la France, soit plus que lors de la précédente manifestation, déjà qualifiée d'"historique", du mardi 28 mars. Pour sa part, le ministère de l'Intérieur a annoncé, à 17h30, 944.000 manifestants hors capitale, contre 878.000 mardi dernier. A Paris, l'Intérieur annonce 84.000 manifestants, soit 1.028.000 au total.
A Paris, la CGT annonce 700.000 manifestants, soit le même chiffre que mardi dernier. Selon un premier pointage de la police, réalisé en début d'après-midi, ils seraient 55.000 à manifester.
Parallèlement, le mouvement occasionnait sensiblement moins de perturbations, en particulier dans les transports.

"Coup fatal"

Avant le début du cortège parisien, l'intersyndicale anti-CPE dénonçait "le flou" et "l'absence d'interlocuteur clair" sur ce dossier, tout en réitérant son exigence d'abrogation pure et simple du texte.

"J'espère que les manifestations nous aideront à porter un coup fatal au CPE", a lancé le secrétaire général de la CGT Bernard Thibault, son homologue de la CFDT François Chérèque préférant réclamer "une réponse claire sur le fait que le CPE ne s'appliquera jamais".
Sous un soleil printanier qui faisait le jeu des manifestants, les organisateurs recensaient plus de 250.000 personnes dans les rues de Marseille, soit autant que mardi dernier. "Nous ne laisserons pas les minots tout seuls", avertissait une banderole en milieu de cortège.

"Période d'essai finie"

A Bordeaux, les manifestants étaient entre 45.000, selon la police, et 125.000, selon les organisateurs.
Aux cris de "Chirac, Villepin, Sarkozy, votre période d'essai elle est finie!" ou encore "ni CPE Villepin, ni CPE Sarkozy!", quelque 45.000 personnes selon les organisateurs, 14.000 selon la police, ont défilé à Lyon dans un cortège ouvert par les lycéens.
On recensait parallèlement entre 52.000, selon la police et 60.000 manifestants, selon les organisateurs, à Nantes, entre 15.000 et 50.000 à Clermont-Ferrand, entre 7.000 et 35.000 à Saint-Etienne, entre 10.000 et 30.000 à Brest, entre 9.500 et 30.000 à Roanne, entre 10.000 et 20.000 à Tours, entre 8.000 et 20.000 à Orléans, selon les sources.
Si la grande majorité des rassemblement se sont déroulés dans le calme, des incidents ont été signalés à Lille entre policiers et manifestants quelques heures avant la manifestation régionale anti-CPE qui devait avoir lieu en début d'après-midi.

Transports peu perturbés

Cette nouvelle journée de manifestations et de grèves n'occasionnait que de faibles perturbations dans les transports urbains en province, selon l'Union des transports publics (UTP) qui évoquait un trafic normal dans 80% des réseaux et des problèmes "mineurs" dans les 20% touchés, métro et tramways fonctionnant dans toutes les villes, sauf Marseille.
Le métro parisien, qui ne devait offrir que deux rames sur trois en moyenne, assurait un service quasi-normal sur la plupart des lignes, tandis le trafic SNCF était conforme aux prévisions, avec environ un train sur deux (Corail, Transilien et RER), et sept sur dix pour les TGV.

Moins d'enseignants en grève

Bien que beaucoup d'établissements scolaires soient fermés, le nombre d'enseignants grévistes dans les collèges et lycées était en baisse mardi matin par rapport à la précédente journée de mobilisation, selon les chiffres du SNES.
Le principal syndicat du second degré estimait que 42% des enseignants étaient en grève, contre 56% le 28 mars dernier. Les chiffres fournis par le ministère de l'Education nationale étaient également en baisse, avec entre 16,14% et 28,42% de grévistes dans l'Education nationale. AP
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Svolatche
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Posté le: Jeu Avr 06, 2006 11:08
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hey oui après le discours de Monsieur Le Premier ministre :)

http://permanent.nouvelobs.com/special/20060126.UNE0039.html


Dominique de Villepin a reconnu lors de sa conférence de presse avoir voulu aller vite mais affirme que l'heure est maintenant au dialogue.


Dominique de Villepin a déclaré jeudi 6 avril lors de conférence de presse mensuelle qu'il mènera "jusqu'au bout" la mission de la "bataille pour l'emploi" que lui a confiée Jacques Chirac. Interrogée par une journaliste sur un éventuel retrait du CPE, le Premier ministre a déclaré qu'il voulait laisser le temps du dialogue se dérouler et que chacun devait faire preuve de responsabilité.
Auparavant, il avait avoué son empressement. "J'ai voulu aller vite, c'est vrai, simplement parce que je veux des résultats pour les Français et surtout pour les jeunes", s'est justifié le Premier ministre.
Mais la première leçon, selon lui, est que "nous nous sommes attaqués au nœud des difficultés françaises: le chômage des jeunes". "Ce problème a été enfin ouvert, il ne pourra plus être refermé", a-t-il affirmé.

L'apaisement comme priorité

Pour Dominique de Villepin, il est "temps de sortir de la crise" autour du CPE. La "priorité immédiate" étant "bien sûr l'apaisement".
"La priorité immédiate, nous le savons tous, c'est bien sûr l'apaisement", a déclaré le Premier ministre. "Il est temps de sortir de la crise pour retrouver la sérénité et l'unité du pays", a-t-il ajouté.

"Je souhaite en particulier que chacun exerce ses responsabilités pour permettre aux étudiants de retrouver leur université, comme aux lycéens de retourner à leurs cours", a-t-il dit. "Tout le monde doit pouvoir préparer et passer ses examens normalement".
Pour le chef du gouvernement, "le respect des règles républicaines est une condition nécessaire du retour au calme"

En esperant que tout s'arrange et que mon post meurt dans l'oublie ;-)
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Posté le: Jeu Avr 06, 2006 18:18
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Qui vivra verra :roll:
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Raf
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Posté le: Mer Avr 12, 2006 21:15
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C'est bon maintenant il et retirer le CPE
on a pu de soucis a ce faire !!!
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Raf
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Posté le: Mer Avr 12, 2006 21:51
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Morte de rire , parce que tu t'imagines qu'ils vont pas pondre autre chose à la place? :lol:
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goun
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Posté le: Jeu Avr 13, 2006 08:26
Sujet du message:
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moi j'aimerai bien savoir si tous les jeunes qui font grève savent qui se cachent derrière ces syndicats étudiants ou autre inter fédération...


pour avoir été dans le milieu, j'peux vous dire que y a 1 bon million de jeunes étudiants qui se fait arnaquer.


une manipulation sans précédent. qu'on soit pour ou contre le cpe, méfiez vous des effets de masses dirigés par des hommes syndiqués..


vous pouvez pas savoir à quel point je me censure

:D
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Auteur Message
Régis
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Posté le: Jeu Avr 13, 2006 09:34
Sujet du message:
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Le CPE et fini
OK c'est cool mais qu'est-ce qui va le remplacer
On n'aurait la réponse dans quelque mois
C'est claire, ca sera mieux que le CPE (Quoi que)
On verra bien (Le chomage augmente)
Mon avis Perso
Faut faire comme en Allemagne
Président pour 2007 une femme
Ca fera peut etre comme en Allemagne
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