[CENTRA] Quelle influence a le P2P sur la p�dophilie ?

Les majors de l'industrie du cin�ma et de la musique tentent r�guli�rement de mettre � mal les r�seaux P2P en rappelant aux bons p�res de famille qu'ils servent � distribuer des fichiers p�dophiles.

Greg Bildson, le pr�sident de LimeWire, explique au contraire que le P2P est un formidable outil pour lutter contre les p�dophiles.

Dans un article paru sur National Review, trois auteurs directement impliqu�s dans la lutte contre la p�dophilie s'inqui�tent des retomb�es que pourrait avoir la prochaine d�cision de la Cour Supr�me sur le P2P.
Dans cette affaire "MGM c. Grokster", la plus haute juridiction am�ricaine devra d�cider si les �diteurs de r�seaux P2P d�centralis�s sont responsables ou non de l'utilisation illicite qui en est faite.

"Bien qu'il soit avant tout question de droit d'auteur dans cette affaire, nous pensons qu'elle est d'une importance critique pour une autre raison", indiquent les auteurs.
"Se battre dans la bataille contre la pornographie infantile".

Reprenant diverses �tudes r�alis�es par les autorit�s am�ricaines, Penny Nance, Ernie Allen et Chuck Canterbury indiquent que "les r�seaux P2P se r�v�lent �tre un conduit majeur pour la distribution de pornographie infantile".
Selon eux les �diteurs tels que Grokster et StreamCast "veulent d�lib�rement en savoir moins, pas plus, sur le contenu qu'ils aident � v�hiculer".

Mauvaise cible, r�pond Greg Bildson

Le pr�sident de LimeWire, qui �dite le plus populaire des logiciels de P2P bas�s sur Gnutella, a souhait� r�pondre sur p2pnet.net � cette tribune du National Review.
"La v�rit� c'est que les r�seaux de partage de fichiers P2P offrent aux autorit�s un outil puissant pour traquer et enfermer les pourvoyeurs de pornographie infantile", affirme-t-il.
Et Bildson n'h�site pas � rappeler ce qui reste un tabou chez les �diteurs : "Les r�seaux de partage de fichiers les plus populaires sont loin d'�tre anonymes. Si un p�dophile partage de la pornographie infantile, ils peuvent �tre facilement catalogu�s, trac�s et arr�t�s".

Greg Bildson indique que le FBI se sert r�guli�rement des r�seaux P2P pour retrouver les amateurs de viols d'enfants.
Il a lui-m�me form� une vingtaine d'agents � cet effet, et son �quipe aurait r�alis� des modifications sur LimeWire pour aider l'agence f�d�rale dans son travail.

Les �diteurs de P2P agissent autant qu'ils peuvent, sans pour autant cr�er une v�ritable milice, insiste Bildson.
Les r�seaux P2P et leurs cr�ateurs ne sont pas le probl�me, "ce sont des individus malades le probl�me, et lorsque davantage se feront enfermer, nous nous attendons � ce que les r�seaux de partage de fichiers P2P soient per�us par ces personnes comme un tr�s mauvais endroit o� colporter leur marchandise".

Les r�seaux s�curis�s : le vrai probl�me ?

Tout l'argumentaire de Greg Bildson repose donc sur l'absence de confidentialit� des �changes sur les r�seaux populaires tels que FastTrack (Kazaa), eDonkey ou Gnutella.
A l'oppos�, il se d�veloppe de plus en plus de r�seaux dits anonymes, tels que WASTE, Mute, ou le nouveau mais d�j� tr�s appr�ci� I2p.

Sur ces r�seaux, les photos et vid�o peuvent th�oriquement s'�changer � l'abri des regards, ce qui en ferait des plateformes de choix pour les amateurs de contenus p�dophiles.
Doit-on pour autant les condamner ?

Le d�bat est complexe, et il manque pour le moment au moins une pi�ce au puzzle avant de pouvoir r�pondre :
"Y a-t-il davantage de p�dophiles et d'enfants viol�s dans un environnement qui permet l'�change gratuit et impuni de contenus p�dophiles ?".

par Guillaume Champeau pour Ratatium
source : p2pnet.net

Speciale dedicace a smoke ;-)

Coup de filet contre les p�dophiles de l'internet en Nouvelle-Z�lande

Des poursuites ont �t� engag�es contre 41 personnes en Nouvelle-Z�lande, apr�s la plus vaste op�ration jamais organis�e dans ce pays contre la p�dophilie sur l'internet, a indiqu� lundi la police.

Des enseignants et des entra�neurs sportifs figurent parmi les personnes soup�onn�es d'avoir achet� ou t�l�charg� des images pornographiques mettant en sc�ne des enfants sur l'internet, a d�clar� le chef de cette op�ration, l'inspecteur Bernie Hollewand.

113 ordinateurs ont �t� saisis, dont 25 au domicile d'une seule personne, a-t-il d�clar�.

Radio New Zealand a rapport� que cette op�ration avait �t� lanc�e apr�s des informations des autorit�s am�ricaines en septembre dernier et que 75 suspects avaient alors �t� identifi�s.

Les interpellations portent sur des faits qui se sont produits entre d�but 2002 et mi-2003, a-t-il pr�cis� M. Hollewand.

Sources:AFP

Un nouvelle loi en Australie condamne les soci�t�s internet

Le gouvernement australien a mis en garde mercredi les fournisseurs d'acc�s � l'internet qu'ils encouraient des amendes s'ils ne signalaient pas � la police toute pornographie infantile en ligne, en vertu d'une nouvelle l�gislation qui entrera en vigueur lundi.

Le ministre de la Justice, Chris Ellison, a indiqu� que les soci�t�s fournisseurs d'acc�s � l'internet ou h�bergeant des sites internet devaient signaler � la police f�d�rale toute diffusion de contenu p�dophile, au risque d'�tre punies d'une amende allant jusqu'� 55.000 dollars australiens.

"Les fournisseurs d'acc�s � l'internet et les responsables de moteurs de recherche doivent avoir � l'esprit qu'� compter du 1er mars, ils seront oblig�s de rejoindre la lutte qu'a engag� le gouvernement contre les abus sur les enfants par le biais de l'internet", a indiqu� Chris Ellison dans un communiqu�.

La nouvelle l�gislation a instaur� des amendes de 11.000 dollars australiens pour les particuliers et de 55.000 dollars pour les entreprises "si elles sont au courant que leurs services peuvent �tre utilis�s pour avoir acc�s � des donn�es dont il y a toute raison de penser qu'elles contiennent de la pornographie infantile ou des abus contre des enfants".

Selon cette loi, toute personne qui utilise l'internet pour transmettre ou rendre accessible des donn�es p�dophiles est �galement passible d'une peine allant jusqu'� dix ans d'emprisonnement.

Source: AFP

Un homme �crou� pour avoir film� et voulu diffuser des images p�dophiles

Un Yvelinois de 32 ans a �t� mis en examen et �crou� la semaine derni�re apr�s avoir reconnu s'�tre film� en se livrant � des agressions sexuelles sur des mineurs de sa famille dans le but de diffuser les images sur des sites p�dophiles, a-t-on appris jeudi de source judiciaire.

Ce cafetier, un p�re de famille de la r�gion de Mantes-La-Jolie, avait �t� plac� en garde � vue dans le cadre d'une enqu�te de la police judiciaire versaillaise sur des personnes consultant et t�l�chargeant des images p�dophiles sur des sites am�ricains.

Ces personnes avaient �t� signal�es � la police fran�aise par les autorit�s am�ricaines qui les avaient rep�r�es par une cellule de veille.

Dans ce cadre, trois autres hommes, r�cemment interpell�s et laiss�s en libert�, doivent compara�tre devant le tribunal correctionnel de Versailles le 11 mars et le 1er avril pour "recel d'images � caract�re p�dophile".

Chez l'un d'eux, un comptable de 50 ans, les policiers de la PJ de Versailles, qui m�nent l'enqu�te avec la Division nationale pour la r�pression des atteintes aux personnes et aux biens (DNRAPB), ont retrouv� 400.000 photos et vid�os.

Dans l'ordinateur d'un autre, 200 photos mettant en sc�ne des jeunes filles ont �t� d�couvertes.

Selon une source proche de l'enqu�te, une quarantaine de personnes devraient �tre prochainement entendues, �galement pour le t�l�chargement d'images p�dophiles.

Sources:AOL Infos

Vous est il d�j� arriv� de tomb� sur ce genre d�image mettant en sc�ne des enfants. En ce cas il faut ce sentir responsable de ces pratiques en les d�non�ant. Peut-�tre freinerons nous cette d�rive. Aussi, il existe un site pour d�noncer. Ce site nous permet de rester anonyme et de diffuser des informations aux personnes comp�tente. Peut-�tre sauverai vous un enfants de traumatismes, d�une vie d�truite �..

https://www.childfocus-net-alert.be/focus/index.cfm?fuseaction=home.main&language=FR

AUCUNE HESITATION JE DENONCE
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