[p2p]Quand l'industrie du disque met le P2P sur liste noire

Quand l'industrie du disque met le P2P sur liste noire
Par Andy Sullivan

WASHINGTON (Reuters) - L'industrie phonographique a "blacklist�" les services d'�change de fichiers sur internet et a emp�ch� des soci�t�s du secteur, comme RealNetworks, de conclure des accords commerciaux avec eux, assure-t-on dans le monde de la musique et de la technologie.

Les tentatives des maisons de disques d'isoler les services gratuits d'�change "peer-to-peer" (P2P), comme Grokster et Morpheus, ont bloqu� des accords qui auraient pu g�n�rer plusieurs millions de dollars de chiffre d'affaires, ont indiqu� ces sources, et pourraient �tre en contradiction avec les lois antitrust.

L'industrie du disque consid�re que les services d'�change de fichiers sur internet sont responsables de la baisse des ventes de CD, et les ont attaqu�s en justice, ainsi qu'environ 3.000 utilisateurs, pour violation du droit d'auteur.

Malgr� les proc�dures judiciaires, plusieurs �diteurs de logiciels peer-to-peer ont engag� des n�gociations avec l'industrie du disque. Mais, jusqu'� pr�sent, les maisons de disques ont montr� peu d'int�r�t.

Les maisons de disques disent qu'elles refusent simplement de travailler avec des soci�t�s qu'elles consid�rent ill�gales.

Les entreprises du P2P se sont �galement heurt�es � un mur avec les autres distributeurs de licences.

Le service britannique de t�l�chargement de musique Wippit a annul� un programme de publicit� et de vente de musique sur Grokster l'an dernier face � l'opposition d'Universal Music.

"Universal a exprim� des r�serves quant � notre relation avec votre soci�t� et, m�me si nous vous proposons un service l�gal, ils n'ouvriront pas leur catalogue � Wippit si nous concluons des accords commerciaux avec votre soci�t� qu'ils consid�rent comme 'pirate'", avait �crit le directeur g�n�ral de Wippit Paul Myers � Grokster dans un courrier �lectronique en mai 2003.

"Nous avions des opportunit�s, et malheureusement, on nous a priv� de ces opportunit�s", a d�clar� le directeur g�n�ral de Wippit Paul Myers, sans vouloir en dire plus.

"Nous avons le droit, et le bon sens, de ne pas faire des affaires avec des gens qui veulent profiter ou permettre le vol de la musique de nos artistes", a d�clar� Larry Kenswil, pr�sident de la division eLabs d'Universal dans un communiqu�.

OBTENIR UN DOLLAR DE CHAQUE UTILISATEUR DE P2P

D'autres responsables de ces maisons de disques ont indiqu� anonymement que leurs contrats �taient souvent r�dig�s de telle sorte que les oeuvres ne puissent �tre vendues aux c�t�s de contenus ill�gaux ou douteux.

L'an dernier, RealNetworks a abandonn� des n�gociations qui visaient � int�grer son lecteur de fichiers multim�dias � Morpheus, ce qui aurait pu permettre � ses utilisateurs d'acheter des chansons sur Rhapsody, le magasin de musique en ligne de RealNetworks.

"Les labels vous ont mis sur liste noire... ce qui veux dire que je ne devrais pas avoir beaucoup de latitude concernant Rhapsody", a expliqu� le directeur g�n�ral de RealNetworks Ryc Brownigg dans un message t�l�phonique � StreamCast Networks en septembre dernier.

Brownigg n'a pas r�pondu � une demande d'explication et un porte-parole de RealNetworks a refus� de commenter ces informations.

Deux autres services de t�l�chargement ont refus� de travailler avec Morpheus � cause de la pression des maisons de disques, a d�clar� le directeur g�n�ral de StreamCast Michael Weiss, ajoutant que des clauses de confidentialit� l'emp�chaient de r�v�ler les noms des diff�rents acteurs.

Selon un sp�cialiste de la l�gislation antitrust, Ernest Gellhorn, professeur � l'Universit� George Mason, les maisons de disque ont le droit d'interdire � des partenaires commerciaux de travailler avec des soci�t�s dans le domaine du peer-to-peer, � condition qu'elles le fassent de fa�on individuelle.

Mais, selon un cadre de l'industrie musicale qui a demand� l'anonymat, les maisons de disques scient la branche sur laquelle ils sont assis en ignorant une audience aussi large.

"S'ils pouvaient obtenir un dollar de chaque utilisateur de peer-to-peer (...) il y aurait dix millions de dollars dans la tirelire pour les artistes et les auteurs. Ce serait une avanc�e, et un morceau vendu c'est un morceau qui n'est pas t�l�charg� ill�galement", a d�clar� ce responsable.

Mais comment ils font pour �tre aussi con :-?

???
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Alors je lui ai dit � ma femme : "C'est pas parce que je me suis fais une infusion avec tes chaussettes que je suis n�cessairement anormal!"

C'est vrai �a comment ils font ????? Et en plus ils nous prennent pour des .... :cry:

Mais laissez les faire !!!!
De toute fa�on il arrivera un jour o� ils ne pourront plus rien faire !!! Ce jour sera le jour de l'av�nement de l'internet !!! Le vrai !!!

il defendent leur construction de piscine ces l'�t� s'en on tous acheter leur faut encore un ti peu d'argent pour rajout� le chauffage dans la piscine

Piscine ?????
Oula, ca me fait r�ver !!! titine, tu as une piscine ???
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Ce qui ne tue pas mon zoli petit ordinateur le rend plus Zen... et moi z'aussi !!!

non titine fait pas partie des majors il peut donc pas profit� de l'offre piscine+chauffage pay� par les acheteur de disque

Jansen c'est pas "il" c'est "elle" rooooooooooooo
ben non blackmoumout pas de jardin pas de piscine faudra t'en pass� quand tu arriveras

desol�e
bisouu

oui ellle ces vrai mais je sais pas pkoi je dit il pour tout le monde des fois j'ai un bug enfin pas qu'un seul mais tu pourra pas me reformatter

houla Jansen!!
c'est le record du plus long formatage que je vais battre si je le fais :red: