Les professionnels en France veulent s'attaquer aux pirates

Les professionnels de la musique en France veulent s'attaquer aux "pirates"

BOURGES (France), 24 avr (AFP) - Des professionnels de l'industrie musicale fran�aise veulent engager des actions en justice contre les "pirates" d'internet, consid�r�s, au moins en partie, comme responsables d'une baisse de 20 % de la vente des disques au premier trimestre de cette ann�e.

"Il y a une corr�lation �vidente entre le d�veloppement de l'internet et la chute des ventes de disques", a estim� Eric Daugan, directeur des nouveaux m�dias de Warner Music France.

En 2003, le march� phonographique mondial a subi un recul de 11% de son chiffre d'affaires, alors que simultan�ment le traffic sur internet a augment� de 400%, a dit M. Daugan.

Selon le Syndicat fran�ais de l'�dition phonographique (SNEP), il se vend en moyenne chaque jour en France quelque 300.000 disques ("singles" et albums) alors que parall�lement, les internautes ont t�l�charg� 16,4 millions de fichiers musicaux.

Confront� � une r�cession, les maisons de disques s'appr�tent � r�duire leurs effectifs en France d'environ 20 � 25%.

"La crise du disque, ce n'est pas que Madonna ne puisse pas s'acheter sa trois milli�me paire de chaussure, c'est la paup�risation g�n�rale de la cha�ne de cr�ation: diminution des effectifs, rupture de contrats, notamment ceux des jeunes talents", a d�clar� Herv� Rony, directeur-g�n�ral du SNEP.

"Il y a aura des plaintes individuelles contre les internautes avant l'�t�", a-t-il ajout� en soulignant qu'aux Etats-Unis cette politique de r�pression a co�ncid� avec une reprise du march� en 2003.

Les professionnels fran�ais de l'industrie musicale sont actuellement r�uni � Bourges (centre) pour le 28e Festival de Bourges consacr� � la musique.

Moi aussi je crois les gars de Harvard, c'est pas pour rien que ce sont les gars les plus brillants de la plan�te, lol !

Apprenti Inscrit le: 20 Mar 2004 Messages: 85 **Citer**

ces histoires ne sont que pr�textes, le piratage a toujours exist�, qui n'a jamai enregistr� une cassette d'un disque d'un pote, ou d'une musique a la radio, ou m�me d'un film vid�o a la t�l�. cela existe depuit la cr�ation du magn�tophone et c'est donc pas d'aujourd'huit, alors il serrai bien qu'ils arrette de prendre les gents pour des c... il on trouv�s un nouveau moyen de faire du fric et il sont tous �xit�s a l'id� de commencer le plus vite possible. le fric le fric c'est tous ce qui compte pour eux, pouvoir remplire le r�servoire de leur limousine en exploitant les jeune chanteur.
honte a eux !!!
:couic:

http://serialfichier.free.fr/images/serialfichier.gif

C'est exactement ce que je pense!

D'ailleurs, d�tail curieux, ya que les maisons de disques (et DVD et autres) qui se plaignent, jamais on a vu un chanteur, un producteur, un acteur ou autre se plaindre aux c�t�s de ces pompes a fric!!

C'est quand m�me un signe!!!

A bon entendeur...

Apprenti Inscrit le: 20 Mar 2004 Messages: 85 **Citer**

la v�rit�e je vous l� dit, se sont les chanteurs qui de plus en plus se mettent a leur comptes et comme les boss des maisons de disques ne savent pas chanter il ont du mal a encaisser et c'est bien fait pour eux, nanan�re!

:red:

Touriste Inscrit le: 10 Avr 2004 Messages: 4 **Citer**

Arf ! je v en facher bcp alors jeux fais 1 How To Burn sur l'excellent titre Diablo 2 av� Clony, CloneCd et BlindWrite

Ils prot�gent les disques puis invoque (Comme Yuna dans FFX ! Lol

LA cause du vilain pirate (Ooh le pas b� vilain pauvre

pour augmenter leurs prix !

De ki se moque t'on :? Non mais !

C'est koi le prochain pas ! Le DD Bah Jeux v poser 1e bonne question alors : Comment y peuvent savoir si la copie que g sur le disque dur ne provient pas de l'original :? 1. Et c pas ill�gal �a aussi :? Bient�t ils viendront chez nous !

Lol

Enfin moi je serait toujours pour les pauvre...

Sombre HilL.

Ca c bien vrai hein!!!! COmment ils peuvent savoir ke c pas l'original:?:

Et puis d'abord moi c pas des les copies ke je faisd ce ttes des copies de sauvegardes :
au d�part j'en fait une, mais va savoir je peux la perdre ou l'ab�mer ma copie de savegarde! Donc j'en fait un 2e puis une 3e et pour �tre s�r de pouvroi la retrouver en cas de sinistre je l'ul chez plein de gens ki l'h�bergent jusk'a ce ke j'en ait besoin!!!
Apr�s je peux pas etre derri�re leur dos pour savoir ce k'ils en font moi hein

Allez! Peste soit de l'avarice et des avaricieux!

SUITE

Piratage: les professionnels de la musique d�cid�s � r�primer

BOURGES (AFP) - Face � la r�cession de l'industrie musicale, avec un recul de 20% du march� fran�ais au cours du premier trimestre, les professionnels de l'industrie musicale r�unis � l'occasion du 28e Printemps de Bourges ont exprim� l'intention d'engager "tr�s prochainement" des actions en justice contre les pirates.
Confront�s � la crise, les maisons de disques s'appr�tent � engager des mesures de redressement qui devraient se traduire, en France notamment, par la r�duction d'environ 20 � 25% des effectifs. Syndicats de salari�s et employeurs doivent se rencontrer le 27 avril pour aborder le dossier, une premi�re pour l'industrie discographique hexagonale. Selon le Syndicat national de l'�dition phonographique (SNEP), il se vend en moyenne chaque jour en France quelque 300.000 disques ("singles" et albums). Parall�lement, les internautes ont t�l�charg� 16,4 millions de fichiers musicaux. "Il y a une corr�lation �vidente entre le d�veloppement de l'internet et la chute des ventes de disques", estime Eric Daugan, directeur des nouveaux m�dias de Warner Music France, qui pr�cise qu'en 2003, le march� phonographique mondial a subi un recul de 11% de son chiffre d'affaires, alors que simultan�ment le trafic sur internet a augment� de 400%. "Le disque arrive en fin de cycle, nous nous trouvons face � une nouvelle fa�on de consommer la musique", d�clare R�mi Bouton, responsable du site Promusic France, amorc� par la fili�re musicale fran�aise (�diteurs, soci�t�s d'auteurs...), dans un souci de "p�dagogie" aupr�s des internautes. Pour Herv� Rony, directeur-g�n�ral du SNEP, "la crise du disque, ce n'est pas que Madonna ne puisse pas s'acheter sa trois milli�me paire de chaussures, c'est la paup�risation g�n�rale de la cha�ne de cr�ation : diminution des effectifs, rupture de contrats, notamment ceux des jeunes talents". Le directeur-g�n�ral du SNEP annonce que "ce n'est pas de gaiet� de coeur que nous ferons jouer la peur du gendarme, mais nous le ferons". "Il y a aura des plaintes individuelles contre les internautes avant l'�t�", a pr�cis� Herv� Rony, rappelant qu'aux Etats-Unis cette politique de r�pression, men�e courant 2003, a co�ncid� avec une reprise du march�. Parall�lement, les �diteurs discographiques demandent l'adoption rapide de la loi sur l'�conomie num�rique "afin de responsabiliser les fournisseurs d'acc�s" (aux services en ligne) : "Cette loi n'est pas liberticide, nous sommes choqu�s par le cynisme et la provocation des fournisseurs d'acc�s", affirme Herv� Rony. Parall�lement � ce volet r�pressif -"nous ne sommes pas l'annexe du quai des Orf�vres", se d�fend le directeur-g�n�ral du SNEP-, les �diteurs phonographiques entreprendront �galement avant l'�t� un travail "p�dagogique" aupr�s des consommateurs, qui s'appuiera sur une campagne de publicit�, dans les m�dias �crits et audiovisuels. Un �l�ment, qui, avec le d�veloppement d'une offre l�gale de musique, et le volet r�pressif de l'action des �diteurs, constitue le troisi�me socle de ce que R�mi Bouton appelle une "trith�rapie" pour soigner une industrie musicale mal en point.
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http://www.les-smiley.com/smiley/Panneaux/smiley_995.gif

suite ...

ces tjs la meme chose 50 000 mille article pour dire qu'il perde de l'argent a cause de nous ces tout ....

week

lool les missants !!!

ils veulent plus de sousou ??

Zon ka faire kom les USA ! ataker lirack et piker le p�trole ...

++