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nicolas78
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[info] Piratage: Le canada sui les USA.. a quand le france ? |
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Auteur |
Message |
Week54
Membre d'Honneur
Inscrit le: 18 Juil 2003 Messages: 1928 Localisation: Lorraine
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Posté le: Mer Mar 10, 2004 11:33
Sujet du message: [info] Piratage: Le canada sui les USA.. a quand le france ?
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Les Canadiens pourraient bientôt goûter à la médecine judiciaire servie aux Américains par la RIAA. L'Association de l'industrie canadienne de l'enregistrement (CRIA, en anglais), qui n'a jamais caché son admiration pour la vague de procès d'internautes américains suspectés de piratage, aurait repéré 29 gros utilisateurs P2P canadiens qui partageraient en moyenne 2000 à 2500 pièces musicales et vient de déposer des demandes pour apprendre leur identité.
Les suspects ne sont pour l'instant identifiés que par un pseudonyme nécessaire à la connexion aux réseaux P2P tels que celui de Kazaa et une adresse en relation avec leur fournisseur d'accès Internet. La CRIA a cependant entamé des démarches qui pourraient éventuellement mener à des procès en justice contre ces internautes en expédiant des demandes d'identification auprès de leur fournisseur d'accès Internet (FAI), parmi lesquels on retrouve Telus, Sympatico de Bell Canada et Vidéotron.
Mais ceci ne signifie pas nécessairement que ces FAI fourniront sans résistance les renseignements désirés. En effet, dans l'Ouest canadien, Shaw Communications a déjà signifié qu'il s'opposerait aux démarches de la CRIA en invoquant des lois sur le respect de la vie privée. Cependant, Vidéotron aurait signifié qu'il ne s'opposerait pas à ces demandes d'identification tandis que Telus et Bell Canada ont mentionné qu'ils contacteraient d'abord les internautes suspectés. La collaboration de Vidéotron pourrait inquiéter puisqu'il est une filiale de Quebecor, qui est également propriétaire d'Archambaultzik, le premier service de musique en ligne payant et légal ouvert au Québec.
Aux États-Unis, la RIAA invoquait la loi sur la protection de la propriété intellectuelle afin d'obliger les fournisseurs d'accès Internet à révéler l'identité de leurs abonnés suspectés de piratage de musique dans Internet mais, en décembre dernier, cette procédure a été déclarée illégale par un juge. On surveillera donc avec intérêt la façon dont se dérouleront ces démarches au Canada.
Rappelons que la loi canadienne sur le droit d'auteur autorise la copie privée pour usage personnel, ce qui pourrait être interprété comme le téléchargement d'une pièce musicale par exemple, mais condamne toutefois la distribution publique qui correspondrait à des MP3 offerts en partage.
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n'oublier pas que ca va bientot arriver en europe, cela pourrai tres bien etre la france...... _________________ This misuse of trust will forever stain the pages of history,
Echoing the exploitation and the frailty of decent
Men carried away by nurtured rancour...
Perpetual distrust fed by a belief
In the malevolence of the others
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Auteur |
Message |
Week54
Membre d'Honneur
Inscrit le: 18 Juil 2003 Messages: 1928 Localisation: Lorraine
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Posté le: Mer Mar 10, 2004 11:39
Sujet du message:
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Liste des Québécois suspectés de piratage avec Kazaa
La Clinique d'intérêt public et de politique d'Internet au Canada de l'Université d'Ottawa a publié la liste des noms d'utilisateur de Kazaa qui sont suspectés par l'industrie du disque canadienne d'avoir partagé un grand nombre de pièces musicales sur Internet.
On savait déjà qu'au moins deux Québécois étaient dans la liste de présumés pirates de musique de l'Association de l'industrie canadienne de l'enregistrement. La liste des adresses IP des 29 internautes canadiens visés suggère que deux abonnés de Sympatico localisés au Québec seraient également ciblés par les poursuites en justice.
Les deux abonnés de Vidéotron sont identifiés dans le réseau de Kazaa par les noms d'utilisateurs suivants:
123123123123123123@KaZaA et
barracuda_ben@KaZaA
Les deux abonnés de Sympatico de Bell Canada dont les adresses IP pointent vers des serveurs situés à Montréal sont:
hotshot@KaZaa et
azzura@KaZaa
Au total, quatre Québécois seraient donc dans la mire de l'Association de l'industrie canadienne de l'enregistrement (CRIA dans son sigle anglais) qui tente de poursuivre des internautes comme le fait la RIAA américaine depuis l'été dernier.
Les internautes canadiens n'étant pour l'instant connus que par leur nom d'utilisateur dans Kazaa, l'industrie du disque tente d'obtenir en cour le droit de forcer les fournisseurs d'accès Internet à révéler leur identité réelle, afin de pouvoir les poursuivre en justice par la suite. Le mois dernier, les audiences ont été suspendues par un juge pour qu'il puisse examiner de près les implications juridiques de tels ordres.
Tous les fournisseurs d'accès Internet canadiens visés dans cette affaire auraient indiqué qu'ils se plieraient à un ordre de la cour les forçant à dévoiler l'identité d'un abonné soupçonné de piratage de musique dans Kazaa
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Auteur |
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Week54
Membre d'Honneur
Inscrit le: 18 Juil 2003 Messages: 1928 Localisation: Lorraine
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Posté le: Mer Mar 10, 2004 11:40
Sujet du message:
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Délai dans l'affaire des Canadiens suspectés de piratage de musique sur Internet
Un juge de la Cour fédérale canadienne a reporté au 12 mars prochain les audiences au cours desquelles l'Association de l'industrie canadienne de l'enregistrement veut obtenir le droit de forcer les fournisseurs d'accès Internet à révéler les noms de leurs abonnés suspectés de piratage de musique sur Internet.
Il y a quelques jours, les utilisateurs canadiens et québécois de réseaux d'échange de fichiers apprenaient, avec stupéfaction dans certains cas, que l'Association de l'industrie canadienne de l'enregistrement (CRIA, en anglais) avait décidé de mettre ses menaces à exécution et de poursuivre en justice des internautes qui partagent un grand nombre de fichiers MP3 dans des réseaux P2P tels que celui de Kazaa.
Dans l'état actuel des choses, seuls les fournisseurs d'accès Internet des 29 internautes identifiés sont toutefois en mesure de dévoiler leurs noms. Or, les démarches pour l'obtention de ces données seront peut-être plus longues et complexes que prévu. Le juge canadien Konrad Von Finklestein a en effet ajourné les audiences jusqu'au 12 mars prochain afin de pouvoir étudier les modalités techniques de cette action et ses relations avec les lois sur la protection de la vie privée.
Rappelons que les fournisseurs d'accès Internet Telus et Sympatico de Bell Canada ont déjà déclaré qu'ils avertiraient leurs abonnés suspectés de piratage de musique avant toute chose. Vidéotron a cependant précisé qu'il n'hésiterait pas à dévoiler le nom de ses abonnés qui font partie des 29 internautes suspectés de partager plus de 2000 pièces musicales dans les réseaux d'échange de fichiers
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voila bonne lecture ......
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Auteur |
Message |
Cable
ZenZonE Team
Anniversaire : 10 Mai Zodiaque: Sexe: Inscrit le: 01 Aoû 2003 Messages: 2274 Localisation: DTC ;D
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Posté le: Mer Mar 10, 2004 11:54
Sujet du message:
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kooooooool
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Auteur |
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Week54
Membre d'Honneur
Inscrit le: 18 Juil 2003 Messages: 1928 Localisation: Lorraine
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Posté le: Mar Mar 16, 2004 17:57
Sujet du message:
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Identité d'utilisateurs de Kazaa au Canada : des fournisseurs Internet sont perplexes
Les 29 internautes soupçonnés d'avoir offert en partage des milliers de fichiers MP3 dans le réseau de Kazaa, sont pour l'instant identifiés par un nom d'utilisateur et, surtout, par une adresse IP à un moment bien précis. Avant que l'industrie du disque ne puisse intenter des poursuites contre ces suspects, elle doit obtenir leur identité de leur fournisseur d'accès Internet.
Or, depuis la reprise des audiences vendredi dernier, un des fournisseurs Internet a souligné la difficulté, voire l'impossibilité, de faire concorder ces adresses Internet avec les comptes de leurs abonnés. Un avocat de Telus a en effet déclaré à la Cour fédéral du Canada: «Ils veulent identifier les utilisateurs... la technologie ne le permet pas.»
Pourtant, Bell Canada aurait déjà identifié ses sept abonnés (dont deux Québécois) suspectés de piratage, et les avocats de l'Association canadienne de l'enregistrement estiment que «ce n'est pas une impossibilité technique, il s'agit de chercher dans les données qu'ils ont.»
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