Les d�veloppeurs des sites web 2.0

Des experts am�ricains tirent la sonnette d�alarme face � la course aux nouvelles fonctionnalit�s du web 2.0. Ils voient reproduire les erreurs du pass�, � savoir la n�gligence de la s�curit�. L�usage de la technologie Ajax accro�t les risques.

La notion de "web 2.0" est sur toutes les l�vres, et sur toutes les pages web, avec une multitude de nouvelles fonctionnalit�s. Mais comme lorsque les logiciels bureautiques ont fait leurs d�buts, les questions de s�curit� sont n�glig�es, affirment les experts.

�Nous continuons � faire les m�mes erreurs en faisant passer la s�curit� en dernier�, d�plore Billy Hoffman, ing�nieur en chef chez le sp�cialiste de la s�curit� web SPI Dynamics. �Les gens succombent aux sir�nes m�diatiques du web 2.0 et trouvent de nouvelles id�es pour les applications web. Mais ils ne pensent pas � la s�curit� et ne r�alisent pas � quel point ils font courir des risques � leurs utilisateurs�.

Certaines attaques de grande envergure ont d�j� fait des d�g�ts, exploitant par exemple les vers Yamanner, Samy et Spaceflash. Yamanner ciblait Yahoo Mail, en r�coltant les adresses �lectroniques et en s'auto-diffusant � tous les contacts figurant dans le carnet d'adresses Yahoo d'une victime. Les vers Samy et Spaceflash se sont quant � eux r�pandus sur MySpace, modifiant les profils de ce site de r�seau social tr�s populaire.

Source :

http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39362536,00.htm

lol c'est ridicule, le probl�me c'est pas le web 2.0 c'est les d�veloppeurs qui sont n�gligeants. Ajax est � la mode mais il n'y a rien de nouveau c'est un ensemble de m�thodes m�lant javascript et XML principalement. Cette technologie �tant en vogue un grand nombre de sites y succombent. Le probl�me du javascript resurgit alors.

Le javascript cot� client (navigateur) , contrairement au PHP/ASP qui s'execute cot� serveur. Les hackers et autres petits malins peuvent alors modifier le code � leur guise pour exploiter encore plus facilement les failles. Le risque est l�.. on revient � une techno � risque mais le probl�me restera toujours le d�veloppeur et non la techno.